Mon personnage
❄Sexe : Masculin.
❄Nom : Ikki
❄Surnom(s) : L'abruti qui fait des choses bizarres dans ses sandwichs.
❄Âge : 26 ans.
❄Orientation sexuelle : HETERO' OUAIS !
❄Groupe : Personnel (il bosse dans une sandwicherie dans l'aéroport).
| Derrière l'écran
❄Pseudo || Nom : T-pain
❄Âge : 22 ans
❄Comment as-tu trouvé le forum ? Topsite
❄Qu'attends-tu du forum ? Qu'il me fasse bander !
❄Code : VALIDÉ PAR ALICE
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CARACTÈRE
C’est un abru… (Kessta diiit là ?!!!)… hum… disons qu’il ne brille guère pour son intellect, ou sa vivacité d’esprit (Nééé ?). Exactement, il n’a jamais écouté en cours, préférant largement les bagarres, les potes, les filles. Mais s’il n’excelle pas dans le domaine de l’esprit, au moins il a du cœur et reste quelqu’un de courageux. Il n’abandonne jamais ses amis ni ne trahis une seule de ses promesses. C’est un personnage charismatique et attachant qui arrive très vite à se faire apprécier des gens, ou au contraire, à se faire détester.
C’est un garçon imprévisible et mythomane, qui raconte toujours des histoires plus délirantes les unes que les autres pour impressionner ou encore se vanter. Il aime les filles mais ne sait jamais comment s’y prendre, son côté voyou et sa maladresse naturelle n’aidant pas, soit elles s’enfuient devant lui, soit il fait quelque chose de vraiment stupide et les fait quand même fuir.
Il est du genre à foncer dans le feu de l’action, et à réfléchir après. Il préfère cogner et poser des questions ensuite. C’est un illettré avec un bon fond. Il ne s’en rend pas compte mais il a un sens de la justice très affûté, et ce malgré ses problèmes de comportements récurrents (les injustices ont tendance à lui filer de l’urticaire et ça… ce n’est pas bon !). Il est toujours là quand on a besoin de son aide, surtout pour aller se battre avec les autres.
Très dynamique, voire surexcité, il aime la compétition, les challenges et les défis. Son esprit combatif est tel qu’il se donne toujours à fond pour aller au-delà de ses limites sans forcément penser aux conséquences (ce qui ne serait pas un luxe de temps en temps). C’est un Impulsif au sang chaud qui ne prend rien que très peu de chose au sérieux.
Il ne digère pas du tout le chocolat, passant des matinées aux toilettes. D’ailleurs c’est ce qui le fait arriver en retard au cours quasiment tous les jours, parfois plusieurs heures, ne pouvant s’empêcher de manger du chocolat le matin. Il a également la mauvaise habitude de ne pas retenir les noms, et pire, de les changer par d’autres à chaque fois.
Enfin, il aime les motos, les magazines cochons, les chansons des « Sonz offa Bitch », un groupe de rock bien rétro et aussi sa veste.
PHYSIQUE
Shun n’est pas quelqu’un de spécialement imposant. Sans pour autant être frêle, le gaillard dont il est question ne bénéficie pas d’une musculature sculpturale et particulièrement saillante. C’est un homme grand (1m86 pour un nippon) fait de chair et de sang et à la peau d’albâtre que l’on compare bien souvent à celle d’un cadavre tant elle est immaculée.
Une chevelure blonde et plaquée encadre son visage d’éphèbe, au milieu duquel trône un nez fin et aquilin qui vient pile se loger dans la lignée sa bouche. Bouche laissant bien souvent entrevoir un sourire d’une blancheur impeccable. Ses sourcils sont finement dessinés et surmontent une paire d’yeux noisette- lorsque ces derniers ne sont pas protéger des rayons du soleil par des lunettes noir et teinte-.
Du point de vue vestimentaire, le jeune homme se dissocie de la masse par un accoutrement extravagant. En effet, il porte en permanence un blouson satiné, aux couleurs criardes et provocantes au dos duquel a été cousu une tête de tigre hurlante ainsi que le mot « Japan ». Son portefeuille est habilement rattaché à son jean par le moyen d’une petite chaîne, juste par mesure de sécurité (Il y’a fort à parier qu’en cas de vol, le voyou mangera ses convers’ au dîner).
Qu’on se le dise, Shun n’est pas quelqu’un de très maniéré. Sa démarche est nonchalante et lascive la plupart du temps. Il est affublé de la mine circonspecte de l’homme qui ne sait s’il se trouvera toujours sur ses deux jambes au prochain pas et reste très expressif d’un point de vue gestuel.
HISTOIRE
Que je vous dise qui était mon père ? C’est un type qui est allé chez le toubib une fois, dit qu’il était déprimé, que la vie lui paraissait dure et cruelle et qu’il se sentait seul dans un monde menaçant. Vous voulez savoir ce que lui a répondu le toubib ? « Le remède est simple, l’humoriste Akira Ikki est en ville. Allez le voir, ça vous remontera ! » Alors mon père éclate en sanglots : « Mais docteur » qu’il dit « Je suis Akira Ikki ! »
Le soir même je le retrouvais pendu à une corde en rentrant de l’école au beau milieu du salon : le froc baissé et un petit papier entre les mains sur lequel était inscrit « Courage Shun ». Courage Shun… qu’est-ce que ça signifie ? Lorsqu’un homme qui s’est suicidé vous parle de courage faut-il traiter cet ultime conseil le plus sérieusement du monde ? Je devais avoir sept ans et lorsqu’on m’emmena vivre chez mon plus proche parent, à savoir ma grand-mère, cette dernière me dit « Tu sais Shun, même s’il ne le montrait pas ton père était toujours très affecté par la mort de ta mère. Il était plus sensible qu’on ne le pensait. » Je me souviens l’avoir regardé de la manière la plus neutre au monde et de lui avoir répondu par un simple « ok ». Il n’y avait rien à dire de plus.
J’ai été élevé par ma Grand-mère. Une foutue furie avec qui il fallait filer droit. Manque de bol, je n’étais pas une personne de cet acabit. Alors il m’arrivait d’avoir des problèmes en cours. Je n’étais pas méchant, pas vraiment méchant… mais j’avais déjà mes principes à moi si vous voyez le truc ! A 16 ans, j’ai été viré de l’école. Depuis ce jour, j’ai plus foutu un panard dans un bahut, je n’étais pas fait pour ça, au plus grand dam de ma grand ma’.
Alors il a bien fallut trouver quelques chose hein ? J’ai pas mal prospecté et enchaîné les petits taff sans réelles importances.
C’était histoire de toucher des pépettes, de me dire que je pouvais devenir indépendant. Après trois ans d’errances, à voguer de petits boulots en petits boulots, j’ai finalement trouvé un travail fixe dans une sandwicherie. Pas spécialement connue mais c’est suffisant pour moi. L’endroit est pas mal ; un aéroport. Je vois des nouveaux visages tous les jours et des nanas aux formes à rendre un bœuf cardiaque ! Bien sûr, j’ai toujours mon oncle sur le dos vu que c’est mon Boss, mais je crois, ouais je crois bien que cette fois-ci j’ai trouvé ma place !
